Le travail de Cyprien Gaillard évoque les vestiges de l'architecture moderne sur le point d'être envahis par la nature, comme Hubert Robert imagine le Louvre en ruine en 1796. Cette œuvre réside en un montage d'estampes conservées au Louvre : La Représentation des machines qui ont servi à élever les deux pierres qui couvrent le fronton de la principale entrée du Louvre (Leclerc, 1677), Le Feu d'artifice des fêtes données au roi et à la reine par la ville de Paris le 21 janvier 1761 à l'occasion de la naissance du Dauphin (Moreau le jeune, 1783) et La Forêt vierge du Brésil (Fortier,
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