Chaussettes 41/46 Tarsila do Amaral - Distância

CH901411
Ces chaussettes ont été créées à l'occasion de l'exposition «Tarsila do Amaral. Peindre le Brésil moderne » au musée du Luxembourg du 9 octobre 2024 au 2 février 2025.

Les chaussettes sont imprimées d'un détail de l'œuvre de Tarsila do Amaral (1886-1973), Distância (Distance), 1928
(Huile sur toile...
-{{ Math.floor(lowestprice.prices.user.percent) }}%
-{{ Math.floor(selectedVariant.prices.user.percent) }}%
À partir de {{ lowestprice.prices.user.price_tax_display }} {{ lowestprice.prices.user.price_strike_tax_display }} {{ lowestprice.prices.user.label }}
{{ price.price_tax_display }} {{ price.label }}
Prix ​​public {{ lowestprice.prices.suggested.price_tax_display }} {{ lowestprice.prices.suggested.price_strike_tax_display }}
HT
{{ selectedVariant.prices.user.price_tax_display }} {{ selectedVariant.prices.user.price_strike_tax_display }} {{ selectedVariant.prices.user.label }}
{{ price.price_tax_display }} {{ price.label }}
Prix ​​public {{ selectedVariant.prices.suggested.price_tax_display }} {{ selectedVariant.prices.suggested.price_strike_tax_display }}
HT
Derniers articles disponibles
Vendu par GrandPalaisRmn

Caractéristiques

Entretien
Lavage machine 30 ° C. Pas de nettoyage à sec. Pas de javel. Ne pas repasser
Musée
Musée du Luxembourg
Thème
Made in France
Matière de l'oeuvre d'origine
Huile sur toile
Artiste
Tarsila do Amaral (1886-1973)
Courant artistique
XXème
Référence
CH901411
EAN
3336729265497
Matière de l'article
91% coton 8% polyamide
Dimensions du modèle
8cm x 40cm
Musée de conservation
São Paulo,Coleção Simão M.Guss

L'oeuvre et son artiste

Tarsila do Amaral (1886-1973)

Figure centrale du modernisme brésilien, Tarsila do Amaral (1886-1973) est la créatrice d'une œuvre originale et évocatrice, puisant dans les imaginaires indigéniste, populaire et moderne d'un pays en pleine transformation. À Paris, dans les années 1920, elle met son univers iconographique a l'épreuve du cubisme et du primitivisme, avant d'initier, à São Paulo, le mouvement « anthropophagique », prônant la « dévoration ». Ses paysages aux couleurs vives laissent alors la place à des visions insolites et fascinantes, avant qu'une dimension plus ouvertement politique n'apparaisse dans ses toiles des années 1930.