L'autre dimension de l'œuvre qu'il convient de rattacher à son apprentissage, c'est le désir de représenter le temps, et bientôt d'en déployer la durée plus que d'en figer le mouvement. Qu'il s'agisse de Princeteau, son maître en peinture hippique, de Cormon, peintre énergique par excellence, ou de Degas, qui le pousse à traquer la dynamique au-delà de la danse, Lautrec n'aura cessé de reformuler l'espace-temps de l'image. L'artiste est parvenu à concilier la fragmentation subjective de l'image et la volonté de hisser la vie moderne vers de nouveaux mythes. Comme l'atteste sa correspondance,
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