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Les Maîtres du Feu - L’âge du Bronze en France 2300 – 800 av. J.-C.

13 juin 2025 9 mars 2026

Cette exposition, fruit d'une collaboration entre le Musée d'Archéologie nationale (MAN), l'Institut national de recherches archéologiques préventives (Inrap) et l'Association pour la promotion des recherches sur l'âge du Bronze (APRAB) montre comment l'évolution de la métallurgie a accompagné, tant symboliquement que culturellement, les bouleversements profonds de la société en Europe occidentale. Cette période a transformé le territoire français en un carrefour de cultures.

A destination de tous les publics, cette exposition offrira une expérience de l'âge du Bronze à travers expérimentations, ateliers, conférences et animations dans le musée et dans le domaine national.

Art Brut - Dans l’intimité d’une collection. Donation Decharme au Centre Pompidou

11 juin 2025 21 septembre 2025

Découvrez l'exceptionnelle collection de Bruno Decharme, fruit de 45 ans de découvertes et de rencontres avec l'art brut. Plus de 400 œuvres révèlent la puissance créative hors des cadres établis.

Produites dans les marges des sociétés, parfois dans le secret, la plupart des œuvres d'art brut ne nous parviennent que par le hasard d'une découverte ou l'action d'un proche de l'artiste. Pendant quarante-cinq ans, au gré des rencontres et des trouvailles providentielles, le collectionneur Bruno Decharme s'est employé à réunir ces créations nées en dehors du monde artistique reconnu, mais qui constituent aujourd'hui un pan important de l'histoire de l'art.

À travers plus de 400 œuvres, l'exposition Art Brut. Dans l'intimité d'une collection. Donation Bruno Decharme au Centre Pompidou explore l'histoire de l'art brut. Ces œuvres proviennent de la donation d'œuvres faite par Bruno Decharme au Musée national d'art moderne du Centre Pompidou.

Organisé comme un puzzle, à l'image du kaléidoscope de thèmes et de regards que brassent les recherches sur l'art brut, le parcours témoigne des richesses créatives insoupçonnées que peut déployer l'esprit humain lorsqu'il est étranger à la norme.

Une expérience en réalité virtuelle inspirée de l'œuvre de Henry Darger, artiste d'art brut américain, sur une musique de Philippe Cohen Solal est disponible dans ce parcours d'exposition. Pensez à réserver pour en profiter (Billet horodaté + Expérience immersive et musicale "Insider/Outsider").

Commissariat :
Bruno Decharme - Collectionneur et réalisateur
Barbara Safarova - Enseignante à l'école du Louvre et chercheuse

Commissariat associé :
Cristina Agostinelli - Attachée de conservation et responsable de programmation, service des collections contemporaines, Musée national d'art moderne - Centre Pompidou
Céline Gazzoletti - Historienne de l'art
Valérie Loth - Attachée de conservation, cabinet d'art graphique, Musée national d'art moderne - Centre Pompidou
Diane Toubert - Archiviste, Bibliothèque Kandinsky, Musée national d'art moderne - Centre Pompidou

Scénographie :
Corinne Marchand
L'éclairage d'une partie de l'exposition a été rendu possible grâce au soutien de Sammode, fabricant de luminaire.

Dans le flou, une autre vision de l’art de 1945 à nos jours

7 mai 2025 4 juillet 2025

Les Nymphéas ont longtemps été regardés par les artistes ou étudiés par les historiens comme le parangon d'une peinture abstraite, all over, sensible, annonciatrice des grandes installations immersives à venir. En revanche, le flou qui règne sur les vastes étendues aquatiques des grandes toiles de Monet est resté un impensé. Ce flou n'avait pas échappé à ses contemporains, mais ils y voyaient l'effet d'une vision altérée par une maladie oculaire. Il nous semble aujourd'hui pertinent et plus fécond d'explorer cette dimension de l'œuvre tardif de Monet comme un véritable choix esthétique dont la postérité doit être mise au jour.

Cette exposition fait délibérément du flou une clé qui ouvre une autre lecture d'un pan entier de la création plastique moderne et contemporaine. D'abord défini comme perte par rapport au net, le flou se révèle le moyen privilégié d'expression d'un monde où l'instabilité règne et où la visibilité s'est brouillée. C'est sur les ruines de l'après-seconde guerre mondiale que cette esthétique du flou s'enracine et déploie sa dimension proprement politique. Le principe cartésien du discernement, qui prévalait depuis si longtemps en art, apparaît alors profondément inopérant. Devant l'érosion des certitudes du visible, et face au champ de possibles qui leur est ainsi ouvert, les artistes proposent de nouvelles approches et font leur matière du transitoire, du désordre, du mouvement, de l'inachevé, du doute.

Commissariat :

  • Claire Bernardi, directrice du musée de l'Orangerie

  • Emilia Philippot, conservatrice en chef, adjointe à la directrice des études à l'Institut national du patrimoine
    En collaboration avec Juliette Degennes, conservatrice au musée de l'Orangerie

Bronzes royaux d’Angkor, un art du divin

30 avril 2025 8 septembre 2025

Mondialement célébré pour ses monuments de pierre, l'art khmer a aussi produit une importante statuaire de bronze dont la connaissance a fait l'objet d'avancées spectaculaires a la faveur de fouilles récentes.

C'est au bronze que le musée Guimet consacre l'exposition Bronzes royaux d'Angkor, un art du divin. Clou de cette exposition : la statue du Vishnou couché du Mébon occidental - un sanctuaire du 11e siecle a l'ouest d'Angkor - retrouvée en 1936, qui mesurait a l'origine plus de cinq metres de longueur. Ce trésor national du Cambodge sera exposé pour la premiere fois avec ses fragments longtemps séparés, apres avoir bénéficié en 2024 d'une campagne d'analyses scientifiques et de restauration en France, avec le mécénat d'ALIPH (Alliance internationale pour la protection du patrimoine). Il sera accompagné de plus de 200 œuvres, incluant 126 prets exceptionnels du musée national du Cambodge, dont la présence permet de dresser un parcours chronologique de l'art du bronze au Cambodge, du 9e siecle a nos jours, a travers un voyage conduisant le visiteur dans les sites majeurs du patrimoine khmer.

Angkor, capitale de l'Empire khmer qui domina une partie de l'Asie du Sud-Est continentale pendant plus de cinq siecles, a conservé de sa gloire passée des vestiges monumentaux d'une ampleur et d'une beauté incomparables. Mais si l'architecture des temples de l'Empire khmer (9e -14e/15e siecles) et les statues de pierre qui y étaient abritées ont maintes fois été célébrées, qui se souvient que ces sanctuaires bouddhiques et brahmaniques conservaient jadis toute une population de divinités et d'objets de culte fondus en métal précieux : or, argent, bronze doré ?

Les prets exceptionnels du musée national du Cambodge, consentis par le Gouvernement royal dans le cadre spécifique de la coopération établie entre le ministere de la Culture et des Beaux-Arts du Cambodge, le C2RMF (Centre de recherche et de restauration des musées de France), l'EFEO (Ecole francaise d'Extreme-Orient) et le musée Guimet, réunissent pour la premiere fois dans le cadre de cette exposition exceptionnelle des chefs- d'œuvre (statuaire, objets d'art ou éléments de décor architectural) ainsi que des photographies, moulages et documents graphiques permettant de replacer ces œuvres d'art dans leur contexte culturel, comme dans une perspective archéologique et historique.

Commissariat :

  • Pierre Baptiste, directeur de la conservation et des collections du musée Guimet, conservateur général de la section Asie du Sud-Est

  • Brice Vincent, maitre de conférences a l'Ecole francaise d'Extreme-Orient (EFEO)

  • David Bourgarit, ingénieur de recherche, Centre de recherche et de restauration des musées de France (C2RMF)

  • Thierry Zéphir, ingénieur de recherche en charge des collections Monde himalayen du musée Guimet

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Les Néréides x Château de Versailles

Les Néréides s'inspirent des emblèmes et des jardins du château de Versailles pour créer ces trois parures. A son apogée, le jardin du Petit Trianon, célèbre dans toute l'Europe, regroupe 4000 variétés botaniques.

Cette richesse florale inspire ces trois parures. Elles sont de véritables hommages aux fastes des jardins à la française dessinés par le Nôtre ainsi qu'à la grandeur de la cour du Roi-Soleil. De l'Aster, au lys royal en passant par les feuilles d'Acanthe, c'est une invitation à flâner à travers les allées des somptueux jardins versaillais.

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